peu importe le passif pour les préfets, il a juste à dire qu'il n'aura pas assez d'effectifs pour gérer les éventuels débordements des stéphanois d'où une éventuelle l'interdiction.
Chez Francky
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- benoit caen
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Re: Chez Francky
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Re: Chez Francky
On peut faire " confiance " à certains préfets pour nous pondre des excuses débiles, c'est certain !
On verra
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Re: Chez Francky
Mandréa chante pendant les matchs
source
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Quand on a le kop derrière soi comme ça, on reste toujours dans sa bulle ou pas ?
A.M : Moi, je chante avec eux pendant le match même si je dois rester concentré. Mais c'est bête, je chante avec eux tout doucement, mais oui j'ai les paroles dans la tête.
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- benoit caen
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Re: Chez Francky
ENTRETIEN. Pour Olaf, les supporters du SM Caen « au carrefour de plusieurs influences »
Fidèle parmi les fidèles, Christophe Vaucelle est supporter de Malherbe depuis la fin des années 1980. Olaf – son surnom emprunté à la mythologie Viking – apprécie que le club ancre son identité dans l’histoire de la Normandie.
Christophe « Olaf » Vaucelle est une figure historique du Malherbe Normandy Kop
D’où vient ce surnom, Olaf ?
Tout simplement d’un délire lors d’un déplacement du MNK, à la fin des années 1990. Des jeunes, au fond du car, avaient trouvé des surnoms à tout le monde et moi, ça a été Olaf. Avec ma moustache et mes cheveux longs, à l’époque, ils ont vu une ressemblance avec ce roi Viking légendaire qui a christianisé la Norvège. Aujourd’hui, on me connaît plus sous ce surnom que sous ma vraie identité !
La référence à la mythologie Viking ne doit pas vous déranger ?
Non, car tout ce qui touche à l’histoire de la région m’intéresse vraiment, même au-delà du foot. Le Stade Malherbe représente la Normandie et on apprécie de faire vivre cette identité, cette culture au fil de nos déplacements. J’ajouterais que nous, on arbore le blason Drakkar et surtout pas ce logo dans lequel on ne se retrouve pas : d’ailleurs, il n’y a jamais eu de cornes sur le casque Viking !
Avant le MNK, un groupe de supporters s’appelait d’ailleurs Brigade Viking : vous en étiez ?
À titre personnel, j’ai commencé à supporter le Stade Malherbe à Venoix, en 1988. Il y avait alors plusieurs petits groupes mais la mentalité du côté des Vikings ne me plaisait pas, donc j’ai rejoint les Gunners avec qui je partageais notamment le goût du football britannique, qui correspondait bien au Malherbe de l’époque avec nos Anglais Brian Stein et Graham Rix, mais aussi des joueurs comme Avrillon, Dumas ou Lebourgeois, à l’engagement total !
Je suis aussi devenu fan de l’équipe d’Angleterre, d’où mon drapeau Union Jack aux couleurs du SMC qui me suit partout depuis près de trente ans.
On peut donc plutôt parler de culture anglo-normande pour les supporters de Malherbe ?
Oui, c’est ça. Le MNK a son style propre, au carrefour de plusieurs influences : un fonctionnement ultra-teinté de culture britannique et d’une vraie identité normande. On a toujours chanté pour Malherbe et pour la Normandie, avec des tifos qui font souvent référence à l’histoire de la région.
Fidèle parmi les fidèles, Christophe Vaucelle est supporter de Malherbe depuis la fin des années 1980. Olaf – son surnom emprunté à la mythologie Viking – apprécie que le club ancre son identité dans l’histoire de la Normandie.
Christophe « Olaf » Vaucelle est une figure historique du Malherbe Normandy Kop
D’où vient ce surnom, Olaf ?
Tout simplement d’un délire lors d’un déplacement du MNK, à la fin des années 1990. Des jeunes, au fond du car, avaient trouvé des surnoms à tout le monde et moi, ça a été Olaf. Avec ma moustache et mes cheveux longs, à l’époque, ils ont vu une ressemblance avec ce roi Viking légendaire qui a christianisé la Norvège. Aujourd’hui, on me connaît plus sous ce surnom que sous ma vraie identité !
La référence à la mythologie Viking ne doit pas vous déranger ?
Non, car tout ce qui touche à l’histoire de la région m’intéresse vraiment, même au-delà du foot. Le Stade Malherbe représente la Normandie et on apprécie de faire vivre cette identité, cette culture au fil de nos déplacements. J’ajouterais que nous, on arbore le blason Drakkar et surtout pas ce logo dans lequel on ne se retrouve pas : d’ailleurs, il n’y a jamais eu de cornes sur le casque Viking !
Avant le MNK, un groupe de supporters s’appelait d’ailleurs Brigade Viking : vous en étiez ?
À titre personnel, j’ai commencé à supporter le Stade Malherbe à Venoix, en 1988. Il y avait alors plusieurs petits groupes mais la mentalité du côté des Vikings ne me plaisait pas, donc j’ai rejoint les Gunners avec qui je partageais notamment le goût du football britannique, qui correspondait bien au Malherbe de l’époque avec nos Anglais Brian Stein et Graham Rix, mais aussi des joueurs comme Avrillon, Dumas ou Lebourgeois, à l’engagement total !
Je suis aussi devenu fan de l’équipe d’Angleterre, d’où mon drapeau Union Jack aux couleurs du SMC qui me suit partout depuis près de trente ans.
On peut donc plutôt parler de culture anglo-normande pour les supporters de Malherbe ?
Oui, c’est ça. Le MNK a son style propre, au carrefour de plusieurs influences : un fonctionnement ultra-teinté de culture britannique et d’une vraie identité normande. On a toujours chanté pour Malherbe et pour la Normandie, avec des tifos qui font souvent référence à l’histoire de la région.
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Re: Chez Francky
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Re: Chez Francky
Ah ah, excellentbenoit caen a écrit : ↑09 mars 2023, 11:35 EN IMAGES. Le Malherbe Normandy Kop met le feu... à la patinoire de Caen
Pour " répondre " à l 'article, déjà vu des fumis avec les supps de Mulhouse au Hockey
Et dans les pays fous de Hockey aussi, style Suisse, Allemagne, Suède
Bref, rien de bien exceptionnel
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Les Navrais " orphelins " des Rouennais, c'est mignon et touchant
Presque envie de verser une larme
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Re: Chez Francky
saison sans enjeu et quand même du beau monde à l'extérieur
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la future station de tramway sera située face à la Borrelli
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Ligue 2 - "De plus en plus de monde à d'Ornano, c'est incroyable", se réjouit Christophe Vaucelle, le patron du MNK 96
Le président du Malherbe Normandy Kop (MNK 96) était l'invité d'Allo Malherbe ce lundi 15 avril. Après deux rencontres de haut vol en tribune (Bordeaux, Rodez) et 35 000 spectateurs, Christophe Vaucelle est revenu sur "les performances" des supporters caennais au Stade Michel d'Ornano.
Comme chaque lundi, France Bleu Normandie revient sur l'actualité du Stade Malherbe Caen dans l'émission Allo Malherbe. Pour en discuter cette semaine, nous avons reçu dans nos locaux le patron du Malherbe Normandy Kop (MNK 96), Christophe Vaucelle connu aussi sous le surnom de Olaf, après deux rencontres où les supporters caennais ont (encore) massivement répondu présent.
35.000 spectateurs en deux matchs
35.000 spectateurs en deux matchs
Avec 15.500 spectateurs de moyenne cette saison, le SM Caen se classe à la 3ᵉ place dans le classement des affluences moyennes en Ligue 2 saison 2023-2024, juste derrière Saint-Etienne et les Girondins de Bordeaux qui dominent ce classement (selon les données de la mi-saison janvier 2024).
"On reste sur deux grosses affluences et c'est normal contre Bordeaux parce que ce sont les Girondins de Bordeaux, mais de faire autant contre Rodez alors qu'on vient de perdre 1-0, on a un super public. On est quand même sur notre cinquième saison consécutive en deuxième division. Il y a de plus en plus de monde. C'est tout de même assez incroyable. Dans la période difficile, on a malgré tout des joueurs qui ont le bon état d'esprit et ça se voit sur le terrain. La culture des supporters de Malherbe, c'est de venir au stade et d'encourager l'équipe même quand c'est compliqué".
Plus de monde en dehors de la tribune Borelli ?
"Il y a un gros noyau de fidèles en tribune Borelli. Je ne peux pas forcément le remarquer sur les autres tribunes, mais vu le nombre d'abonnés qui augmentent tous les ans, les gens se réabonnent, reviennent et puis l'ambiance du stade etc en font venir d'autres. Bien qu’on soit une cinquième année consécutive en deuxième division, ça n'arrête pas les gens, les gens prennent du plaisir aussi à venir en famille. On voit aussi que les ventes de maillots explosent ainsi que tout ce qui va avec, contre Rodez, il y avait énormément maillot bleu, rayé, bleu et rouge à d'Ornano, c'était beau à voir".
Le MNK 96 débrief aussi son match
Après chaque rencontre, le groupe de supporters prend le temps de parler, de s'organiser, mais aussi de débriefer sur ce qu'il s'est passé en tribune. : "contre Rodez, on a fait un très bon match. On parle avec les capos après le match. On débrief sur le fait de lancer les chants aux bons moments. Quand les joueurs vont mal, l'ambiance fait du bien sûr le terrain. Mais parfois, on se dit aussi, tiens, on n'a pas été bon. On débriefe nos matchs en tribune comme les joueurs le font aussi dans le vestiaire après le match".
Un partenariat avec le Bayer Leverkusen ?
Alors qu'un transfert de Tidiam Gomis, le jeune attaquant du Stade Malherbe Caen, serait envisagé cet été au Bayer Leverkusen, le SMC est en discussion avec le club allemand, récent champion de Bundesliga. Si rien n'est officiel, cela pourrait concerner la formation. Pour Christophe Vaucelle, c'est toujours intéressant de voir comment travaille les autres clubs : "On nous a expliqué à l'AG de l'amicale des anciens que le Bayer Leverkusen n'a pas d'équipe réserve, donc ils ont besoin de former des jeunes. Par exemple, de travailler avec d'autres clubs pour la formation, parce que forcément, on se pose la question avec tout ce qu'on entend parler sur la multipropriété, etc. Ça fait toujours un peu flipper, cela pourrait être un partenariat avec la formation".
Le président du Malherbe Normandy Kop (MNK 96) était l'invité d'Allo Malherbe ce lundi 15 avril. Après deux rencontres de haut vol en tribune (Bordeaux, Rodez) et 35 000 spectateurs, Christophe Vaucelle est revenu sur "les performances" des supporters caennais au Stade Michel d'Ornano.
Comme chaque lundi, France Bleu Normandie revient sur l'actualité du Stade Malherbe Caen dans l'émission Allo Malherbe. Pour en discuter cette semaine, nous avons reçu dans nos locaux le patron du Malherbe Normandy Kop (MNK 96), Christophe Vaucelle connu aussi sous le surnom de Olaf, après deux rencontres où les supporters caennais ont (encore) massivement répondu présent.
35.000 spectateurs en deux matchs
35.000 spectateurs en deux matchs
Avec 15.500 spectateurs de moyenne cette saison, le SM Caen se classe à la 3ᵉ place dans le classement des affluences moyennes en Ligue 2 saison 2023-2024, juste derrière Saint-Etienne et les Girondins de Bordeaux qui dominent ce classement (selon les données de la mi-saison janvier 2024).
"On reste sur deux grosses affluences et c'est normal contre Bordeaux parce que ce sont les Girondins de Bordeaux, mais de faire autant contre Rodez alors qu'on vient de perdre 1-0, on a un super public. On est quand même sur notre cinquième saison consécutive en deuxième division. Il y a de plus en plus de monde. C'est tout de même assez incroyable. Dans la période difficile, on a malgré tout des joueurs qui ont le bon état d'esprit et ça se voit sur le terrain. La culture des supporters de Malherbe, c'est de venir au stade et d'encourager l'équipe même quand c'est compliqué".
Plus de monde en dehors de la tribune Borelli ?
"Il y a un gros noyau de fidèles en tribune Borelli. Je ne peux pas forcément le remarquer sur les autres tribunes, mais vu le nombre d'abonnés qui augmentent tous les ans, les gens se réabonnent, reviennent et puis l'ambiance du stade etc en font venir d'autres. Bien qu’on soit une cinquième année consécutive en deuxième division, ça n'arrête pas les gens, les gens prennent du plaisir aussi à venir en famille. On voit aussi que les ventes de maillots explosent ainsi que tout ce qui va avec, contre Rodez, il y avait énormément maillot bleu, rayé, bleu et rouge à d'Ornano, c'était beau à voir".
Le MNK 96 débrief aussi son match
Après chaque rencontre, le groupe de supporters prend le temps de parler, de s'organiser, mais aussi de débriefer sur ce qu'il s'est passé en tribune. : "contre Rodez, on a fait un très bon match. On parle avec les capos après le match. On débrief sur le fait de lancer les chants aux bons moments. Quand les joueurs vont mal, l'ambiance fait du bien sûr le terrain. Mais parfois, on se dit aussi, tiens, on n'a pas été bon. On débriefe nos matchs en tribune comme les joueurs le font aussi dans le vestiaire après le match".
Un partenariat avec le Bayer Leverkusen ?
Alors qu'un transfert de Tidiam Gomis, le jeune attaquant du Stade Malherbe Caen, serait envisagé cet été au Bayer Leverkusen, le SMC est en discussion avec le club allemand, récent champion de Bundesliga. Si rien n'est officiel, cela pourrait concerner la formation. Pour Christophe Vaucelle, c'est toujours intéressant de voir comment travaille les autres clubs : "On nous a expliqué à l'AG de l'amicale des anciens que le Bayer Leverkusen n'a pas d'équipe réserve, donc ils ont besoin de former des jeunes. Par exemple, de travailler avec d'autres clubs pour la formation, parce que forcément, on se pose la question avec tout ce qu'on entend parler sur la multipropriété, etc. Ça fait toujours un peu flipper, cela pourrait être un partenariat avec la formation".
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Re: Chez Francky
https://www.smcaen.fr/2023-2024/actuali ... ans-ma-vie
Pour la troisième saison consécutive, Steven Bouillard a effectué l’intégralité des déplacements pour voir jouer le Stade Malherbe à l’extérieur. Ce passionné des « rouge et bleu » depuis le plus jeune âge a traversé la France en long en large et en travers.
Peux-tu nous expliquer d’où te vient cette passion pour le club ?
« J’ai commencé à suivre le club depuis tout petit mais principalement dans les journaux et à la radio puisque je n’ai pas une famille de footballeurs et on habitait assez loin. C’est quand j’ai eu mon permis en février que j’ai commencé à venir au stade, j’ai pris mon abonnement la saison suivante. Je venais au stade tout seul puis je me suis fait un groupe d’amis assez rapidement en Borrelli. Avant ça, je venais de temps en temps au stade mais c’était quand même assez rare. »
Est-ce que tu te souviens de ton premier déplacement ?
« C’était le stade de la Vallée du Cher à Tours, je crois que ça remonte à 2013 si je ne dis pas de bêtises. Ce n’était pas en bus, on y avait à plusieurs petits groupes en voitures. Ça ne m’a pas spécialement marqué puisque je ne me souviens même plus du résultat de la rencontre. »
Et concernant les déplacements, comment c’est arrivé ?
« C’est devenu quelque chose qui a vite pris une place importante dans ma vie. Je suis quelqu’un aime bien voyager et passer du temps sur la route en plus du football donc faire beaucoup de kilomètres pour voir jouer Malherbe ça ne m’a jamais fait peur ou dérangé. Dans mes premiers déplacements, les matchs étaient le vendredi soir en Ligue 2, je m’arrangeais pour terminer tôt et je partais directement après le travail. . Je me souviens notamment d’un match à Rodez, j’avais traversé la France tout seul. »
Tu t’es mis en tête ce challenge de faire le grand chelem toutes les saisons ?
« Ça n’a jamais été un challenge pour moi, ça a toujours été naturel. À partir de 2017, j’ai commencé à aller assez loin tout seul, je me souviens par exemple d’un match que j’avais été voir à Nice. Je n’ai manqué aucun déplacement cette saison tout comme la saison dernière. En 2021 / 2022, j’ai juste loupé un match à Ajaccio qui avait été déplacé à cause du COVID alors que j’avais tout réservé bien en avance. »
Quel déplacement restera gravé dans ta mémoire ?
« Mon meilleur déplacement c’est à Marseille en 2015 quand on est menés 2-0 et que l’on s’impose finalement 3-2. Celui-ci je l’avais fait un bus, je me souviens de la fin du match, tout le monde se congratulait, il y avait même des partenaires du club que l’on avait vu au moment de reprendre le bus. J’avais énormément économisé pour faire ce déplacement-là et je pense que ça valait vraiment le coup, ça reste un sacré souvenir. »
Et à l’inverse, quel est ton pire souvenir ?
« Un des pires c’était à Montpellier en Coupe de France, il y a cinq ou six saisons, on avait pris une valise (5-0). On est descendus à deux, c’était un peu dur de faire autant de route pour voir une défaite aussi lourde. On était restés la soirée pour profiter un peu de la ville. »
C’est aussi une occasion de partager avec les supporters adverses ?
« De manière générale, on est toujours bien reçus, notamment en Ligue 2. Cette saison, je me suis fait des amis à Bastia. On était que deux là-aussi et on en avait profité pour aller dans un bar avant le match et on a sympathisé avec certains. On est restés en contact depuis, c’est aussi ça que je recherche à travers les déplacements, le partage avec les supporters de Malherbe mais aussi avec ceux des équipes adverses. »
Et d’un point de vue logistique, comme fais-tu pour t’organiser ?
« Au début c’était un peu compliqué mais maintenant je suis assez rodé. Généralement je ne prends pas de vacances en juillet / août pour pouvoir avoir un maximum de temps libre le reste de l’année et faire tous les déplacements. J’anticipe pas mal au moment de la sortie du calendrier, notamment pour les déplacements en Corse, j’essaie de réserver les billets assez tôt pour profiter des tarifs les plus avantageux. »
Pour la troisième saison consécutive, Steven Bouillard a effectué l’intégralité des déplacements pour voir jouer le Stade Malherbe à l’extérieur. Ce passionné des « rouge et bleu » depuis le plus jeune âge a traversé la France en long en large et en travers.
Peux-tu nous expliquer d’où te vient cette passion pour le club ?
« J’ai commencé à suivre le club depuis tout petit mais principalement dans les journaux et à la radio puisque je n’ai pas une famille de footballeurs et on habitait assez loin. C’est quand j’ai eu mon permis en février que j’ai commencé à venir au stade, j’ai pris mon abonnement la saison suivante. Je venais au stade tout seul puis je me suis fait un groupe d’amis assez rapidement en Borrelli. Avant ça, je venais de temps en temps au stade mais c’était quand même assez rare. »
Est-ce que tu te souviens de ton premier déplacement ?
« C’était le stade de la Vallée du Cher à Tours, je crois que ça remonte à 2013 si je ne dis pas de bêtises. Ce n’était pas en bus, on y avait à plusieurs petits groupes en voitures. Ça ne m’a pas spécialement marqué puisque je ne me souviens même plus du résultat de la rencontre. »
Et concernant les déplacements, comment c’est arrivé ?
« C’est devenu quelque chose qui a vite pris une place importante dans ma vie. Je suis quelqu’un aime bien voyager et passer du temps sur la route en plus du football donc faire beaucoup de kilomètres pour voir jouer Malherbe ça ne m’a jamais fait peur ou dérangé. Dans mes premiers déplacements, les matchs étaient le vendredi soir en Ligue 2, je m’arrangeais pour terminer tôt et je partais directement après le travail. . Je me souviens notamment d’un match à Rodez, j’avais traversé la France tout seul. »
Tu t’es mis en tête ce challenge de faire le grand chelem toutes les saisons ?
« Ça n’a jamais été un challenge pour moi, ça a toujours été naturel. À partir de 2017, j’ai commencé à aller assez loin tout seul, je me souviens par exemple d’un match que j’avais été voir à Nice. Je n’ai manqué aucun déplacement cette saison tout comme la saison dernière. En 2021 / 2022, j’ai juste loupé un match à Ajaccio qui avait été déplacé à cause du COVID alors que j’avais tout réservé bien en avance. »
Quel déplacement restera gravé dans ta mémoire ?
« Mon meilleur déplacement c’est à Marseille en 2015 quand on est menés 2-0 et que l’on s’impose finalement 3-2. Celui-ci je l’avais fait un bus, je me souviens de la fin du match, tout le monde se congratulait, il y avait même des partenaires du club que l’on avait vu au moment de reprendre le bus. J’avais énormément économisé pour faire ce déplacement-là et je pense que ça valait vraiment le coup, ça reste un sacré souvenir. »
Et à l’inverse, quel est ton pire souvenir ?
« Un des pires c’était à Montpellier en Coupe de France, il y a cinq ou six saisons, on avait pris une valise (5-0). On est descendus à deux, c’était un peu dur de faire autant de route pour voir une défaite aussi lourde. On était restés la soirée pour profiter un peu de la ville. »
C’est aussi une occasion de partager avec les supporters adverses ?
« De manière générale, on est toujours bien reçus, notamment en Ligue 2. Cette saison, je me suis fait des amis à Bastia. On était que deux là-aussi et on en avait profité pour aller dans un bar avant le match et on a sympathisé avec certains. On est restés en contact depuis, c’est aussi ça que je recherche à travers les déplacements, le partage avec les supporters de Malherbe mais aussi avec ceux des équipes adverses. »
Et d’un point de vue logistique, comme fais-tu pour t’organiser ?
« Au début c’était un peu compliqué mais maintenant je suis assez rodé. Généralement je ne prends pas de vacances en juillet / août pour pouvoir avoir un maximum de temps libre le reste de l’année et faire tous les déplacements. J’anticipe pas mal au moment de la sortie du calendrier, notamment pour les déplacements en Corse, j’essaie de réserver les billets assez tôt pour profiter des tarifs les plus avantageux. »
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Re: Chez Francky
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“Un bon poète n’est pas plus utile à l’État qu’un bon joueur de foot.” - (presque)François de Malherbe